Le basketball reprend avec énergie à l’École polyvalente Saint-Joseph

Le basketball reprend du service à l’École polyvalente Saint-Joseph de Mont-Laurier, et l’enthousiasme est palpable.

Cette année, le programme sportif du Sommet comptera six équipes, soit une de plus que l’an dernier, signe d’un intérêt grandissant pour ce sport chez les élèves.

Une saison sur le point de débuter

« Les pratiques ont commencé dès la deuxième semaine de septembre. On a des blocs d’entraînement tous les soirs de la semaine, de 16 h à 20 h. Les jeunes travaillent fort et sont déjà bien préparés », explique Rachel Emmott, enseignante et responsable du basketball du Sommet.

Les matchs officiels débuteront en novembre, une fois la saison confirmée par le Réseau du sport étudiant du Québec (RSEQ). « On finalise notre calendrier cette semaine », précise Mme Emmott. « Habituellement, chaque équipe joue cinq à six matchs pendant la saison, auxquels s’ajoutent des tournois régionaux. »

Six équipes bien formées

Cette année, la polyvalente aligne trois équipes juvéniles (deux masculines et une féminine), une équipe cadette masculine et deux équipes benjamines (une masculine et une féminine).

Chaque formation regroupe entre 10 et 15 joueurs, selon le niveau et la disponibilité des jeunes. « Certaines équipes comptent aussi des athlètes qui pratiquent d’autres sports, comme le hockey, alors on s’adapte », ajoute Mme Emmott.

Des objectifs clairs et ambitieux

Les équipes du Sommet évoluent dans différentes catégories, du niveau D4N2 (débutant) jusqu’au D4N1, un cran plus compétitif. « On a des jeunes qui commencent, mais aussi des joueurs et des joueuses plus expérimentés. Trois de nos équipes évolueront au niveau D4N1 cette année, ce qui montre qu’on progresse d’une saison à l’autre », souligne Mme Emmott.

L’objectif du programme est de faire grandir le sport étudiant tout en favorisant le développement des jeunes athlètes. « Nos équipes participent à des tournois du RSEQ et à des compétitions extérieures. Ce sont toujours de belles occasions d’apprentissage et de dépassement », mentionne la responsable.

 Les entraîneurs partagent leurs attentes

Pour l’équipe benjamine masculine (Division 4 Niveau 1), les entraîneurs Francis Olivier et Étienne Pagé se disent confiants : « L’équipe compétitionnera dans une catégorie supérieure à celle de l’an dernier. C’est un beau défi, mais nos joueurs sont soudés, disciplinés et prêts à le relever. »

Du côté du juvénile masculin 1, dirigé par Francis Morabito et Dominique Dault, l’objectif est clair : « Nous visons un classement parmi les deux meilleures équipes de la section pour accéder au championnat régional d’avril. Nos dix joueurs, dont huit en 5e secondaire, disputeront environ 20 à 25 matchs cette saison. »

L’équipe juvénile masculine 2, menée par Steve Brunet et Tom Guenette, aborde sa première saison au niveau D4N1 : « Notre but est de nous classer parmi les meilleures équipes. Les gars travaillent fort pour progresser et devenir de vrais athlètes. »

L’équipe juvénile féminine, entraînée par Jonathan Brisebois, mettra l’accent sur la progression et la confiance : « Nous accueillons plusieurs nouvelles joueuses. Les plus expérimentées les intègrent très bien. On priorise l’apprentissage et le plaisir avant tout. »
M. Brisebois souligne aussi l’importance du soutien de la communauté et remercie Dimitry Cousineau, ancien joueur du Sommet, et Cindy Bazinet, bénévole gestionnaire, pour leur aide précieuse.

Enfin, l’équipe cadette masculine et l’équipe benjamine féminine, dirigées par Stanley Calixte, profiteront de l’expérience d’un entraîneur chevronné : « Avec plus de 30 ans d’expérience, coach Calixte met l’accent sur les bases du jeu et le développement des jeunes, qu’ils soient débutants ou expérimentés. »

Une popularité en hausse

Le basketball demeure le deuxième sport le plus populaire à la polyvalente, derrière le volleyball, mais la tendance est à la hausse. « On le voit : six équipes, c’est beaucoup pour une école de notre taille. On a un bon groupe de jeunes motivés, et ça montre que le basketball prend de plus en plus sa place ici », se réjouit Mme Emmott.