Marguerite Blais annonce un projet pilote en gérontologie et gériatrie sociale

Publié le 17 mai 2022 (Mis à jour le 12 avr. 2025)
Lecture : 2 minutes

Ronald McGregor

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Le 17 mai au gymnase de l’hôpital de Rivière-Rouge, la ministre responsable des Aînés, Marguerite Blais, était accompagnée de la députée de Labelle, Chantale Jeannotte, afin d’annoncer la mise sur pied d’un projet pilote concernant la gérontologie et gériatrie sociale (GGS) dans la MRC d’Antoine-Labelle (MRCAL). Le projet-pilote reçoit un financement de 75 000$.
Ce montant est accordé par le Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides (CISSSLAU) pour une période d’un an, de mars 2022 à mars 2023.

La ministre Blais a souligné l’importance de soutenir les aînés en préservant leur qualité de vie et leur santé en misant sur la prévention. Ce sont d’ailleurs des efforts mis de l’avant par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) en matière de GGS.

Le projet, comme énoncé, « a également pour objectif de développer et de soutenir les partenariats entre les divers acteurs du milieu communautaire, le réseau de la santé et des services sociaux et la communauté, afin de répondre le mieux possible aux besoins des personnes aînées tout en tenant compte des ressources en place ».

« La gérontologie et la gériatrie sociale sont une approche relativement nouvelle qui permet de lutter de manière préventive contre l’isolement des personnes aînées plus vulnérables. Le développement de projets pilotes tels que celui-ci nous permet de mettre en place des services qui aideront à mieux prévenir une perte d’autonomie accrue chez les personnes aînées », explique la ministre Blais.

Quelques lignes du projet

Le MSSS est à colliger ce qu’il appelle « les effets des mesures de gérontologie et de gériatrie sociale déployées ». Ces informations lui permettront de brosser un tableau clair de la situation, entre autres, dans la MRCAL.

Dans le cadre du projet, signalons qu’une formation de sentinelles et d’intervenants sera mise de l’avant, comme la « mise en place de mécanismes d’échange de l’information, de même que la tenue de rencontres entre intervenants et cliniciens dans le cadre d’un comité clinique ».

Évidemment il faudra implanter un comité de pilotage pour qu’il puisse définir les orientations du projet pilote.

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