Stéphane Lapointe : l’entraînement comme mode de vie

Publié le 16 oct. 2025 (Mis à jour le 16 oct. 2025)
Lecture : 2 minutes

Maxim Ouellette-Legault

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Stéphane Lapointe à l’entrainement.
Photo gracieuseté – Stéphane Lapointe — Stéphane Lapointe à l’entrainement. Photo gracieuseté – Stéphane Lapointe

Pour Stéphane Lapointe, directeur du campus régional de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue à Mont-Laurier, l’entraînement n’est pas seulement une activité physique, mais une véritable passion qui s’est imposée dans son quotidien depuis maintenant sept ans.

C’est après avoir réalisé qu’il manquait de souffle simplement en montant quelques étages qu’il a décidé de se reprendre en main. « Si j’ai de la misère à monter cinq étages à l’âge que j’ai, je m’arrange pour avoir des problèmes en vieillissant », explique-t-il. Depuis, la discipline fait partie intégrante de sa vie.

Lever à 3 h 30 du matin, deux heures d’entraînement avant le travail, alternant musculation et cardio : voilà la routine qu’il s’impose, cinq à sept jours par semaine. Il court en moyenne une trentaine de kilomètres par semaine et effectue des exercices variés grâce à un équipement complet à domicile : tapis de course, machine SMITH, deux bancs de musculation, haltères avec un total de 375 lb de poids libres, barre olympique, hack squat, presse à jambe et vélo cardio stationnaire. Une fois par semaine, il se rend au Centre de conditionnement physique L’Oxygène à Mont-Laurier pour compléter son entraînement avec des stations qu’il ne possède pas chez lui.

La perte de 80 livres et le gain de masse musculaire témoignent des résultats concrets de cette rigueur. Mais pour lui, les bienfaits dépassent largement la dimension physique. « L’exercice physique est aussi important pour le mental. Ça me permet de me vider l’esprit pour recharger mes batteries. »

Autodidacte, Stéphane Lapointe s’informe beaucoup par la lecture et les conseils recueillis auprès de professionnels de l’entraînement. Cette approche lui permet de s’assurer que ses efforts sont réellement bénéfiques pour sa santé et sa qualité de vie. « Maintenant, quand je me lève et que je ne m’entraîne pas, je me sens coupable », confie-t-il.

Une passion pour la photographie

Si l’entraînement occupe une place centrale dans sa vie, il nourrit aussi une autre passion pour la photographie. Amateur averti, il a couvert des événements sportifs et aime également capter des instants de nature, particulièrement les oiseaux. Une activité qu’il décrit comme un moment de détente et de curiosité visuelle, complémentaire à l’intensité de ses séances physiques.

Pour Stéphane Lapointe, ces deux passions se rejoignent dans une même philosophie : prendre soin de soi, s’accorder du temps et transformer la discipline en plaisir.

Sur la photo : Laure Voilquin, directrice du développement et des partenariats chez Centraide Hautes-Laurentides, et Jacob Bélisle, coordonnateur aux événements et projets spéciaux chez Moisson Laurentides.

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