Guignolée des médias : L’équipe de L’info sur le terrain

Publié le 28 nov. 2025 (Mis à jour le 28 nov. 2025)
Lecture : 2 minutes

Maxim Ouellette-Legault

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Le 4 décembre prochain, l’équipe de L’info du Nord Mont-Laurier sera de nouveau sur le terrain afin de récolter des dons pour la Guignolée des médias, un événement annuel devenu incontournable.

Chaque année, cette collecte mobilise les médias et la population afin de soutenir les personnes en situation de précarité. Pour l’équipe de L’info, il s’agit d’un geste concret pour renforcer la solidarité locale et répondre aux besoins croissants de la communauté.

Pour Rosalie Campeau, adjointe aux ventes, contribuer à la Guignolée représente avant tout un geste profondément humain. Elle souligne que chaque don, petit ou grand, permet d’offrir un soutien essentiel à des familles et à des individus traversant des périodes difficiles. « Chaque contribution aide à nourrir, à soutenir et à semer l’espoir. Ensemble, nous pouvons bâtir une communauté plus solidaire », affirme-t-elle.

Joëlle Bélisle, éditrice, partage cette conviction. Selon elle, la participation à la Guignolée des médias va bien au-delà d’une simple collecte annuelle. « En donnant, on aide à combler des besoins essentiels pour des milliers de personnes vulnérables. Chaque geste compte, et permet d’offrir chaleur, dignité et espoir », explique-t-elle. Cette présence de l’équipe sur le terrain, notamment dans les commerces, devient une façon directe de rappeler l’importance de s’entraider.

Sarah Carrière, conseillère en solutions média, abonde dans le même sens. Pour elle, il est impensable que des familles aient à choisir entre se nourrir et payer leurs factures. « Participer à la Guignolée, c’est offrir un peu de réconfort à ceux qui en ont le plus besoin. Ensemble, on peut faire une réelle différence », dit-elle.

Parmi les participantes les plus expérimentées, Émilie Constantineau, infographiste, cumule près de 25 années d’implication. Elle a pris part à la toute première Guignolée en décembre 2001, alors qu’elle travaillait à l’Écho de la Lièvre, et n’a jamais cessé d’y participer depuis. Elle témoigne des défis de la collecte sur le terrain, notamment lorsque les équipes se placent aux intersections pour solliciter les automobilistes. « Ce n’est pas toujours évident, mais ça vaut la peine. Donner quelques heures de notre temps peut faire toute la différence », explique-t-elle.