Travaux routiers à Mont-Laurier : Une série d’interventions sur le territoire

Publié le 30 juin 2025 (Mis à jour le 30 juin 2025)
Lecture : 2 minutes

Maxim Ouellette-Legault

Partagez sur Facebook Partagez sur Twitter Partagez sur LinkedIn

Photo gracieuseté – Nicolas Aubry/Ville de Mont-Laurier

À Mont-Laurier, plusieurs rues nécessitent des travaux importants, un constat partagé par la Ville qui amorce, cet été, une série d’interventions représentant un investissement de près de 6,5 millions de dollars.

Ces travaux s’inscrivent dans une planification à long terme visant à améliorer l’état des infrastructures routières tout en tenant compte des contraintes budgétaires et des priorités du territoire.

Parmi les chantiers en cours ou prévus à court terme : la réfection de la rue de la Madone entre les rues Bellerive et Pelletier, la revitalisation de la rue du Pont (phase 3), ainsi que des travaux sur le chemin de Saint-Jean-sur-le-Lac, la rue des Pensées, la montée Lanthier, le chemin du Tour-du-Lac-des-Îles et la montée Dumouchel. Ces interventions comprennent notamment le resurfaçage de chaussée, la réfection de trottoirs, le remplacement de ponceaux, et le profilage de fossés.

Le maire Daniel Bourdon rappelle que la stratégie de la Ville repose sur le principe de « faire les bons travaux au bon moment ». Si des infrastructures souterraines doivent être remplacées d’ici quelques années, la Ville choisit de reporter les travaux de surface afin de refaire l’ensemble en une seule intervention.

Une subvention qui couvre 85 % des coûts permettra notamment la réfection complète de la rue Bellerive en 2025. À plus long terme, la rue Alix, la rue Limoges (près du Palais des sports) et la rue Desormeaux (entre du Pont et Chasles) figurent aussi parmi les priorités.

Depuis 2017, la Ville de Mont-Laurier a investi environ 80 M$ dans ses infrastructures tout en maintenant une dette municipale autour de 13 M$. Cette gestion vise un équilibre entre les besoins routiers, les autres services publics et la qualité de vie, avec des projets parallèles touchant les parcs, les installations sportives, et la mobilité active. « Oui, on met des sous dans nos rues, mais il faut aussi investir dans les parcs, les terrains de soccer ou de pickleball. Il faut développer autre chose que de l’asphalte pour offrir une belle qualité de vie à nos citoyens », insiste le maire.