À la douce mémoire de Pierre Martel 1929 – 2012
Ceux qui pensent qu’il y a un délai limite pour le chagrin n’ont jamais perdu un morceau de leur coeur. Quand tu me manques, je mets ma main sur mon coeur et je ferme les yeux, car je sais que c’est le seul endroit où tu existes toujours. J’ai besoin de voyager dans le passé. non pour éviter certaines erreurs mais pour te retrouver Pierre. Je m’ennuie toujours de ta voix, de tes conseils, de tes histoires, de ta présence, la mort change tout, mais le temps ne change rien.
Tu me manques toujours autant. Je t’aime.
Ton amie, ta complice, ton amoureuse, épouse. Micheline xxx